Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
roman
15 mars 2006

nouvelle histoire

voila le titre seras étincelles,

Je m'appelle Sophie, on me surnomme FiFi. J'ai quinze ans. Je suis jolie et je le sais.

Jolie de visage et belle de corps, ce dont je ne tire aucune fièreté mais ou je puise ma joie d'exister.

Je ne suis plus vierge depuis six mois.De ça je suis fière car il m'a fallu vaincre une peur obscure lorsque pour la première fois je me suis trouvée en face du sexe d'un homme.

J'ai surmonté cette peur mystérieuse. Tout de suite après, je lme suis sentie une autre.

J'ai compris pouequoi, jusque -la, je ne m'étais considérée que comme un eétrangèreau reste du monde et séparée de lui par je ne savais encore quelle invisible frontière.

Je mentirais eb disant qu'avant cette dévirginisationje suis demeurée tout à fait innocente.

Certe non ! Je suis même passée dans bien des bras et même entre bien des jambes....

Mais tous ces jeux de mains et de bouche ne me satisfaisaient pas .Ils me mettaient seulement l'eau à la bouche , tourmentée par une faimà laquelle je ne pouvais donner de nom et don la violence m'effrayait.

J'ai résisté à cette faim jusqu'au jour ou je me suis tenu le raisonnement le plus simple du monde: un jour ou l'autre je serai amenée a quitter cette état de vierge, plus exactement de demi vierge.

Autant que cette métamorphose s'opère le plus rapidement possible.

Après quoi je serai véritablement vivante, jetée véritablement dans le grand mouvement cosmique de l'univers.

Dès lors que mes pensées avait germé dans mon esprit et s'y était implantée, j'étais tout entière disponible à l'homme, à l'ancestrale volonté du mâle.

Après cette acte, que je crois de plus en plus être réelle naissance d'un être humain et surtout de la femme, j'ai eu la sensation de posséder le monde et toutes les connaissances qu'il importe d'acquérir.Mais aussi multiples que puissent m'apparaître ces connaissances, j'ai le sentiment que je n'en possèderai jamais asez et j'agis en conséquence.

Vivre, c'est jouir,jouir c'est vivre.

J'ai un mètre cinquante quatre, ce qui est très petite taille,mais elle est compensée par les formes de mon corps admirablement proportionnées. Des épaules rondes, deux petits seins durs et fermes, haut plantés hanches en forme d'amphores prolongées par des cuisses dont la rondeur est en harmonie avec celle de mes épaules. Le triangle de mon pubis fait songer,parait il, à une fleur noire, car jje suis très brune. Mon teint est mat et lisse. J'ai des yeux couleur de violette frangés de cils serrés et très long. Ma lèvre inférieur est légèrement plus charnue que ma lèvre supérieur, ce qui est signe de sensualité, comme chacun sait.

Je m'aime j'aime que l'on m'aime et j'aime aimer. De toutres les manières. Quand je suis avec un garçon, tout marche à la fois. Je l'aime coeur, esprit, corps et ventre.Je me donne pareillement.

Ma mère s'appelle iris.Elee a trente-sept ans.Elle est jolie. C'est d'elle que je tiens tout mon charme. Je l'eenvie parce qu'elle est grande comme j'aurais voulu l'être. Elle est mannequin chez un grand couturier parisien. Elle a des amants. Je les connais certain ne me plaisent pas. J'ai envie de m'en faire certains autres, Mai ma petite Maman n'est pas encore mûre pour ce genre de partage. Je ne désespère pas de l'y amener. Moi, je ne suis pas jalouse, car la jalousie, ce en quoi je n'ai pas de m'érite, car la jalousie est un sentiment que je n'ai jamais connu.

Maman me crois vierge, ou plutôt elle fait semblant de le croire. Ca l'arrange. De mon j'aimerais bien l'avoir comme confidente.Lorque je reviens certaons matins après avoir passé de folle nuit à me faire baiser et à donner du plaisir à mon  ou a mes  partenaires, je donnerais je ne sais quoi pour aller me botir dans les bras d'Iris et lui raconter en détail toutes mes amoureuses prouesses. Mais je suis patiente ce jour -là viendra, j'en suis sure.Je ferais tout pour cela car j'adore ma petite Maman.

Dans un sens je me sens sont ainée, Iris à un aspect si fragile quand je vais me coucher auprès d'elle c'est moi qui la prend dans mes bras et qui la berce en l'embrassant doucement, longuement, au creux de l'oreille. Je la sens fondre contre moi. Timidement, elle se met alors à me caresser les seins, la taille, le ventre, les fesses...

Sa main est douce infiniment. Elle me fait traissaillir mais je me contraint à maitriser les longs frissons que cette maternelle caresse me procure car je ne veux pas choquer Iris et rompre cette étrange enchantement qui naît dans la chaleur de nos deux corps tendrement rapprochés sous la tièdeur complice des draps et des couvertures qui nous abrite.

Je n'ai pas connu mon père. Il a été tué dans un accident de voiture alors j'avais à peine un an. D'après ce que j'ai entendu, c'était un colosse splendide, grans baiseur devant l'éternel et sachant divinement faire jouir les femmes.

Je dois tenir de lui, car bien avant que mes sens soit éveillés et que je ne connaisse la jouissance, j'aimais m'occuper des garcons. C'était toujours moi qui les choisissais et je les choisissais jeunes et beaux.

J'étais encore frigide et je n'avais encore la moindre idée de ce qu'était le spasme final de la jouissance, mais j'étais avide et impatiente d'asister à ce prodigieux mécanisme chez mon partenaire.

En général, moins d'une heure après que je l'avais emballé il était chez moi, allongé sur mon petit divan dans ma chambrette auxrideaux clos et laissant juste assez de pénombre pour que je puisse voir ce que je faisais et surtotu ce que je provoquais.

Publicité
Publicité
Commentaires
J
bon ben ninou comme d'abe... a l'ouest lol ninouuuuuuuu tes au couran que un blog ca avance !!!!
J
bon ninou quand tu veux pour la suite grrrrr bise
J
aller ninou faut te remonté un peu la bisous
J
ninou ta l'inttention d'ecrire un jour lol que ce passe t'iltu fait plus rien la??
J
merci ninou pour tout tes gentils coms je suis assez fatigué par mon job et puis je suis tres amoureuse d'un homme qui comble mon coeur mais promie je vais revenir ecrire tres vite bisous ninou merci amicalement la rêveuse.
Publicité
Publicité